
A propos

UNE HISTOIRE, mon histoire...votre histoire?..
Je pourrais vous dire ça:
Sophrologue certifiée FEPS (Fédération des Ecoles Professionnelles en Sophrologie). Titre inscrit au RNCP (Registre National des Certification Professionnelles) reconnu de niveau V. Diplômée de l'Institut de Sophrologie du Sud Ouest. Membre adhérents du SSP (Syndicat des sophrologues professionnels).
Spécialisée dans la gestion du stresse et les troubles anxieux, j'ai exercé plus de 15 ans en tant qu'infirmière hospitalière dans divers services ( hématologie, oncologie, soins de suite, cardiologie, endocrinologie, maternité, gériatrie et bien d'autres lors de ma formation) et également animé des groupes de sophrologie à l'hôpital d'Albi dans le cadre de la gestion de la douleur.
Mais ce serait oublier ça:
La vie n'est pas un long fleuve tranquille ;)
Enfance...
Petite j'ai grandie auprès d'un père aimant mais violent, physiquement et psychologiquement et loin de ma mère qui s'était enfuie après 10 ans d'amour passionnel et destructeur avec lui. J'avais deux ans quand elle est partie. Ma grande sœur a du assumer très tôt un rôle bien trop lourds pour ses épaules d'enfant et mon grand frère passait son temps à se réfugier dans l'humour pour détendre l'atmosphère et tenter de grandir en sécurité lui aussi. Nous ne mangions pas tous les jours et dormions parterre même si nous habitions un appartement dans une des plus belles avenues de Paris.
Adolescence...
Au milieu de tout ça il y avais moi et ma furieuse envie de vivre, qui s'est adaptée comme le fait tout enfant pour survivre et qui a tant bien que mal grandit avec de l'amour, même défaillant.
Adulte...
A 18 ans j'ai eu la chance de rencontre une personne en qui j'ai reconnu l'amour, le respect et la sécurité. Nous avons fondé un foyer avec trois merveilleux enfants. Nous y avons mis tout ce qui m'avait tant manquer. En même temps, au fil de années, je choisi de soigner mes blessures d'abandon en avançant dans ma propre histoire grâce à ce noyau d'amour et grâce à la présence bienveillante, ponctuellement, de thérapeutes de médecine holistique. Je voulais protéger mes enfants de ma propre histoire. Merci à eux d'avoir croisé mon chemin ils m'ont servis de "re-pères".
A 27 ans après des recherches faites par ma sœur, je retrouve ma mère et une partie de mon histoire, que j'avais enfouie pour me protéger. Le puzzle a retrouvé son morceau.
A 47 ans, j'avais tout pour être heureuse me semblais-t-il:
Portée par ma propre histoire et ma capacité naturelle depuis toute petite à faire preuve d'écoute, de force et d'empathie, j'exerçais mon métier d'infirmière que j'avais choisi à 35 ans et dans lequel j'étais pleinement investie. J'étais sur tous les fronts, pour répondre au mieux aux besoins de tout ce petit monde. Je tenais à bout de bras ce que j'avais mis tellement de cœur à créer et qui m'avais tant manquer plus jeune. Bien que saturée par moments, je me disais que la vie c'était ça et qu'on avait rien sans rien, j'avais l'habitude. Epouse, mère, infirmière, confidente, etc, j'étais LA personne sur qui on pouvait compter et cela me convenais. Enfin je le croyais.
Burn-out..
Lors d'une banale visite chez le médecin pour un mal de gorge qui ne passait pas, je fus stoppé net dans ma course... j'étais en Burn out !
Sentiment de culpabilité, d'en être arrivée là, d'être en arrêt, de n'avoir pas tenue, encore, malgré ma force, mon dévouement, mon amour... Mon corps m'a dit STOP !
Mon corps n'avais pas arrêté de me le dire mais je ne l'entendais pas. Ballonnements, brûlures d'estomac, douleurs, irritabilité avec mes proches, sentiment d'oppression, troubles de la mémoire, sentiment de subir ma vie plus que de la vivre. Tout me demandais plus d'énergie.
Et ce fut l'effondrement
La machine dans ma tête venait de disjoncter et je me sentais à la fois accablée de ma faiblesse et soulagée d'un énorme poids. J'avais enfin une raison "médicale" (donc légitime) pour dire "non" aux sollicitations et me reposer.
J'ai cru que ça allait repartir très vite. "Je suis forte" pensais-je, comme d'habitude. Mais ce ne fut pas le cas. Quelque chose en moi ne fonctionnait plus, n'existait plus. Je me sentais morte de l'intérieure.
Renaissance...
C'est au détour de cette "petite" mort que j'ai découvert la Sophrologie.
J'avais quelqu'un d'extérieur à qui parler. Quelqu'un de neutre, de bienveillant, qui m'écoutait sans pitié, sans jugement, qui était pleinement là. Quelqu'un qui avait des outils pour m'apprendre à prendre soin différemment et à commencer par moi.
Nous avons fait quelques séances ensemble. J'ai beaucoup parlé (j'en avais besoin) et elle m'a accompagnée vers la compréhension et l'acceptation de ce que je vivais.
Animée par mon caractère combatif et d'un naturel positif, après quelques mois d'errance dans mon corps et mes pensées, je fini par dépasser ce vide anéantissant et reprendre mon travail d'infirmière.
En parallèle j'avais trouver en moi de nouvelles envie d'apprendre, portée par la curiosité d'enrichir mon expertise du corps et de ses mécanismes cognitifs, je débutais ma formation de sophrologue.
J'avais appris une grande leçon : Se respecter c'est savoir dire "NON" et ce n'est pas égoïste.
Aujourd'hui...
Mon noyau familiale à tenu bon. J'ai appris l'importance de prendre du temps pour moi. Appris à me remplir régulièrement de positif et de calme. Je donne à nouveau énormément mais je prends du recule, je connais mes limites et je ne me brûle plus les ailles. J'ai fais la paix avec mon passé. J'ai retrouver ma clarté d'esprit, mon sommeil, mon énergie. Mon transit a profité de mon bien être retrouvé, pour fonctionner normalement. Mes cervicalgies et mes coliques sont une histoire ancienne.
Et si, par moment, quelques tensions apparaissent, j'ai appris à les écouter, à les respecter et à agir en conséquence pour le meilleur.
Aujourd'hui je suis capable de parler de mon histoire sans amertume ni ressenti, car j'ai pardonné à mes parents leur défaillances. Je sais qu'ils ont fait ce qu'ils ont pu, à travers les épreuves que la vie leur a donner à traverser.

- Grace à une formation solide de deux années en sophrologie ainsi qu' à ma formation et ma pratique d'infirmière, je connais, entre autre, le mécanismes biologique du stress sur le corps et sur le mentale et sait qu'il est souvent à la source de vos mots physiques et de vos doutes psychiques.
- Je suis heureuse, d'ouvrir la sophrologie au plus grand nombre, pour des problématiques similaires ou autre car la sophrologie ouvre à un grand champ de compétences.
Vous voulez remettre de la Vie dans la Vie et retrouver votre plein potentiel ?
Je vous y accompagne.